Trudon, c’est une histoire sans nulle autre pareille.
Cette maison de maîtres ciriers s’illustre dans l’art de la lumière depuis 1643, année de l’avènement de Louis XIV, âgé de 5 ans.
Un symbole d’éclat et de jeunesse, qui perdure jusqu’au XXIe siècle par des cierges aux couleurs chic & pop et par des bougies parfumées aux ambiances inspirées (A découvrir ici).
2017 marque une nouvelle étape dans l’emprise de Trudon sur nos désirs.
Après l’ambiance parfumée de nos intérieurs, la Maison s’empare de nos corps, fragances de peau à réveiller les souvenirs enfuis et à emporter nos mémoires en Histoire romanesque.
5 eaux de parfums transgenres comme des étapes vers un monde intérieur inspiré d’un passé mouvementé entre royauté, révolution et spiritualité.

BRUMA – Un bouquet fleuri (lavande, violette, iris, jasmin, pivoine pourpre) relevé de poivre noir et de cuir, pour une aventurière-cavalière en route vers l’inconnu, dans un soir brumeux où la jeune fille romantique deviendra femme, à la fois magnétique et charnelle.
Le plus sensuel des 5 comme une invitation à une nuit de plus en plus sombre…
OLIM – Un temps révolu, un « autrefois » qui évoque l’Ancien Régime : La beauté poudrée, la décadence épicée et une opulence résineuse.
Une puretée nourrie de richesses, un parfum de Dorian Gray qui incarne la beauté parfaite oublieuse de ses vices.
On y retrouve la lavande de « Bruma » gourmandée de bergamotte et d’anis comme un innocent interdit, sacralisé par les fumées de myrrhe et de benjoin.
Jouisseur détaché du monde.
II – Un flot de nature verdoyante comme un baume au chaos intérieur.
Une cologne prè-impériale entre orange bigarade, pin, genévrier et cédre, de la feuille à l’écorce dont on tire l’encens qui, toujours, vous emporte ailleurs.
REVOLUTION – La fraîcheur part en fumée par les vertus de l’élémi, une résine des Philippines, citronnée et inflammable.
Une odeur de poudre à canon éclatée qui au fil de la journée fait corps avec les émotions réprimées.
Une explosion olfactive à défaut d’être affective.
MORTEL – Evocations charnelles de la « petite » pour mieux échapper à l’ultime.
Une mort sensuelle voire érotique par la présence quasi animale du ciste labdanum, pivot central d’une partie fine épicée : poivre noir, piment, muscade… comme autant de péchés mortels qui par l’action de l’encens de Somalie, du benjoin et de la myrrhe se rétrogradent au véniel, pour demeurer en odeur de sainteté.
5 étapes à la découverte de son corps loin de toutes mièvreries sucrées et de modernisme synthétique.
La qualité Trudon déjà éprouvée dans les bougies s’incarne plus que jamais dans cet univers de la haute parfumerie où sa venue se faisait attendre tant l’union est naturelle et harmonieuse.
Une élégance retrouvée, une soif d’absolu pour une intimité révélée :
5 fragances qui sonnent un nouvel air !
A découvrir à Dijon chez « Ma belle parfumerie » – ici